Poésie

Hugo Victor – Religions et religion

Hugo Victor – Religions et religion: Dans cet ouvrage critique qu’est « Religions et Religion », empreint de poésie et de ion, publié en 1856, Victor Hugo nous invite à une profonde réflexion sur la place et le rôle des religions dans nos vies. Il y aborde des thèmes universels tels que la foi, le doute et la quête de sens, et anticipe clairement les grands débats des sociétés d’aujourd’hui.
Il ne se contente pas de décrire les différentes religions ; il les interroge, les compare et les critique. Il dénonce les dérives sectaires, le dogmatisme et les conflits religieux qui ont marqué et continuent de déterminer l’histoire de l’humanité. Ainsi, le poète exprime de nombreux doutes et questionnements sur la nature de Dieu, l’existence du mal et le sens de la vie.

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Burnat-Provins Marguerite – Chansons rustiques

Burnat-Provins Marguerite – Chansons rustiques : Intitulés Chansons rustiques, ces 130 poèmes en prose sont écrits durant la période « valaisanne » de Marguerite Burnat-Provins. Installée avec son mari Adolphe Burnat sur les bords du Léman, elle découvre le Valais en 1898 grâce au peintre Ernest Biéler. C’est un éblouissement. Marguerite Burnat-Provins va er tous ses étés, jusqu’en 1907, dans le village valaisan de Savièse. La beauté de la nature et les coutumes ancestrales du « Vieux Pays » sont sources d’inspiration, tant littéraire que picturale. Plusieurs de ces poèmes vont à leur tour inspirer des compositeurs, notamment Émile Jaques-Dalcroze en 1909.

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Burnat-Provins Marguerite – Poèmes troubles

Burnat-Provins Marguerite – Poèmes troubles: Ces Poèmes troubles écrits en été 1917 font échos au Livre pour toi qui relate la ion amoureuse de Marguerite Burnat-Provins pour son amant Paul de Kalbermatten. Dédicacés « pour moi-même », ils se révèlent d’emblée ambigus. L’auteure s’adresse à une mystérieuse Dolly, personnage ambivalent, tantôt masculin, tantôt féminin. Dolly permet un jeu de miroirs déformants qui renvoient à une souf intérieure.

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Burnat-Provins Marguerite – Poèmes de la Boule de verre

Burnat-Provins Marguerite – Poèmes de la Boule de verre et Nouveaux poèmes de la Boule de verre: Au printemps 1917, Marguerite Burnat-Provins est à Neuilly-sur-Seine, seule. Son mari Paul est au front, dans les Pyrénées. Comme exutoire à sa souf et à sa solitude, elle écrit entre avril et juillet plus de 200 poèmes, qu’elle dédie à une ombre. « Dans la boule de verre où nagent les fantômes, j’ai aperçu deux ombres qui se cherchaient. Il m’a semblé entendre des paroles. Ces poèmes, pour un instant, rendront la vie aux voix qui se sont tues, aux formes qui se sont effacées. »

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Burnat-Provins Marguerite – Vous

Burnat-Provins Marguerite – Vous: Onze ans après l’incandescent «Livre pour toi», Marguerite Burnat-Provins s’adresse à «Vous», un mystérieux interlocuteur dont on devine qu’ils se sont aimés. L’écrivaine répond à son injonction – «Il faut m’écrire, mon Amie» – en rédigeant quotidiennement, du 21 mars au 29 avril 1918, «des lettres qui n’en sont pas». Durant ces derniers mois de guerre, «Vous» est probablement au front et l’épistolière vit solitaire en Maine-et-Loire. L’attente d’un éventuel retour habite ses pensées, elle balance entre la nostalgie de l’amour é et l’espoir d’un nouveau bonheur.

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Burnat-Provins Marguerite – Heures de printemps

Burnat-Provins Marguerite – Heures de printemps: Après Heures d’été écrit en 1937 dans son refuge du Clos des Pins près de Saint-Jacques-de-Grasse, Marguerite Burnat-Provins connaît de nouveaux soucis de santé en 1939. Elle suit une cure à Vichy puis rédige Heures de printemps. Au Clos des Pins, le printemps s’écoule doucement. Mais malgré les repères simples que l’autrice y retrouve, le ciel maussade et pluvieux ne lui inspire que souf et tristes pensées sur sa jeunesse envolée. Verra-t-elle d’autres printemps ? Au fil des heures qui ent lentement, elle ne sait plus si elle souhaite quitter son refuge et se plonger dans l’agitation de la multitude pour changer de souf, ou rester, misanthrope mais libre, avec sa solitude dans son havre caché.

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Burnat-Provins Marguerite – Heures d’été

Lassée de Paris et de ses «agitations futiles», Marguerite Burnat-Provins (1872-1952) achète en 1921 le Clos des Pins près de Saint-Jacques-de-Grasse. C’est un ancien mas provençal qui comporte un atelier. Elle s’y installe avec son mari Paul de Kalbermatten en 1926 et en fait son refuge. Elle y rédige Heures d’été entre juin et septembre 1937.

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Burnat-Provins Marguerite – Heures d’hiver

Burnat-Provins Marguerite – Heures d’hiver: Après le Cantique d’été, poème d’amour ionné, et les Heures d’automne toutes imbibées des douces lumières d’automne du Léman, voici les Heures d’hiver, publiées en 1920, qui se situent dans le canton du Valais. Ces poèmes sont le reflet du froid, de la beauté glacée de la solitude, une ode à l’hiver certes, mais une ode à la souf de la séparation, à l’angoisse et la peur de la ion perdue, à la destruction du temps. Un poème sombre, mais empli de magnifiques descriptions en noir et blanc de paysages hivernaux pris dans la glace.

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Burnat-Provins Marguerite – Heures d’Automne

Burnat-Provins Marguerite – Heures d’Automne: Heures d’automne est daté de novembre 1904. Marguerite Burnat-Provins en a élaboré l’écriture en prose entre son domicile conjugal de La Tour-de-Peilz (près de Vevey) et ses séjours au hameau valaisan de Savièse où travaille le peintre Ernest Biéler. C’est le récit d’une journée intérieure, qui débute à 7 heures du matin et se termine à minuit. Chaque heure est nourrie par les pensées et les actions de l’artiste.

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Éluard Paul – Mourir de ne pas mourir et autres poèmes

Éluard Paul – Mourir de ne pas mourir et autres poèmes (Défense de savoir, À défaut du silence, Poèmes pour la paix, Premiers poèmes, Le Devoir, Le Devoir et l’Inquiétude, Le Rire d’un autre, Les Animaux et leurs hommes Les Hommes et leurs animaux) : Les 23 poèmes de Mourir de ne pas mourir comptent parmi les plus sombres qu’Éluard ait écrits. Comme l’annonce son titre emprunté à une complainte de Thérèse d’Avila, le recueil, publié en 1924, est un cri de détresse, l’expression d’une crise à la fois amoureuse et poétique qui se présente en même temps comme un testament. Comment le poète du bonheur et de la fidélité à la vie, le futur auteur de « Liberté », de « La terre est bleue comme une orange » en était-il arrivé à une telle extrémité ? Pour le comprendre, revenons en arrière et replaçons les œuvres réunies ici dans leur contexte biographique…

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