Kâlidâsa – La reconnaissance de Sakountalâ

Kâlidâsa – La reconnaissance de Sakountalâ (traduction et adaptation par P. E. Foucaux) : Tandis que Sakountala réside dans la forêt en compagnie d’autres anachorètes, elle est surprise par le roi Dushyanta, en train de chasser, qui la séduit. Il lui donne un anneau en signe de reconnaissance et retourne en son palais, tandis que Sakountala, enceinte, reçoit la bénédiction de son père adoptif qui l’ent de redre la capitale et son mari le roi.

Un petit cortège se forme, mais arrivé devant le roi, celui-ci ne se rappelle plus ces événements en raison d’une malédiction lancée par Durvasa. Il renvoie donc Sakountala, qui, comble de malheur, a perdu l’anneau. Sortilège maléfique et austérités purificatrices afin de le lever, l’issue peut enfin être favorable.

Kâlidâsa dont le nom signifie serviteur de Kali est probablement le nom de plus célèbre de la littérature sanskrite. Son œuvre, de poésie et de théâtre, qui reprend les grands thèmes du Dharma et de la philosophie indouiste séduit par son équilibre et sa sérénité. On ne sait pas grand chose de Kâlidâsa qui a probablement vécu entre le IVe et le Ve siècle, sans doute au Madhya Pradesh. (Sources de ce paragraphe, Encyclopedia universalis et Wikipédia)

Philippe-Édouard Foucaux (1811-1894), tibétologue – il a écrit notamment une grammaire de tibétain – et membre du Collège de est le traducteur et le commentateur de ce texte classique publié en 1867.

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