Sue Eugène – La Coucaratcha (tome 2) : Les sept danseuses de Madras miment, au son des cymbales, les aventures des princesses ées. Dans la ion de la danse l’une d’elle a remarqué Arthur, l’officier français. Pour Arthur et Daja c’est un amour éperdu. Pour y mettre fin, les autres officiers font croire à Daja que son amant est mort… Le jeune aspirant d’un bâtiment mouillé à Cadix est séduit par Tintilla la gitane. Il s’enfuit avec elle dans les montagnes de la Ronda. Deviendra-t-il un bandit ? Amours déçues ou ionnées, société distinguée ou monde d’aventuriers, bandits ou jeunesse dorée : dans ces nouvelles, la morale n’est pas toujours sauve.
Mais mieux vaut décrire le vrai qu’un idéal moralisant, nous confie Eugène Sue. Toujours mordu par la Cucaracha, il est encore saisi dans ce deuxième tome par son insurmontable besoin de conter et d’écrire. Pour notre plus grand bonheur…
Avec la Coucaratcha, on perçoit la maîtrise de l’écriture dont Eugène Sue fera preuve dans ses œuvres majeures, comme Le Juif Errant et Les Mystères de Paris. Ce recueil de nouvelles se lit facilement et l’on s’arrête à la dernière page surpris d’en avoir lu l’entier d’une seule traite et sans reprendre son souffle.
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